L’Équipe 13 novembre 2020.
Lorsque Marianne Tertrais, sa présidente, en expose d’un mot le principe central, on reste un peu pantois : «le principe, c’est la générosité» … «Générosité, et lenteur», ajoute-elle, comme pour enfoncer le clou. Il y a des mots comme ça, qu’on prononce à tout bout de champ, précisément parce qu’ils signalent la disparition de ce qu’ils désignent. Des mots que l’usure a rendus abstraits, et dont on n’aperçoit plus le sens qu’au prix d’un effort de réflexion.
Et pourtant, à l’heure où ne valent que performance, résilience et résultats, «Vélo sans âge» remet en pratique ces vieilles formules : la solidarité intergénérationnelle et le partage. (la suite…)
Le parisien / Biclou du 15 octobre 2020
Une visite du journal à notre antenne de Saint-Quentin-en-Yvelines, et le témoignage de quelques adeptes de nos promenades. (suite…)
La Montagne, 25 septembre 2020
Depuis le mois de juin, les bénévoles de l’association À vélo sans âge proposent aux personnes à mobilité réduite (PMR) des balades en forêt à bord de leur vélo triporteur. Agnès Bonnet, qui est l’initiatrice de ce projet, a toujours entretenu un lien affectif fort avec la forêt de Tronçais. « Je suis née au Brethon où vivaient mes grands-parents et c’est là que je revenais en vacances pendant toute mon enfance »(suite…)
Les Dernières Nouvelles d’Alsace, 21 juillet 2020
Dix-huit pensionnaires de la Girandière, à Volgelsheim, ont effectué vendredi une petite balade à tour de rôle, seul ou
par deux, grâce à deux deux-roues de l’association A vélo sans âge.
Les pilotes et leurs accompagnateurs à bicyclettes ont successivement promené leurs « clients » à Neuf-Brisach, histoire de leur faire découvrir la beauté de la cité historique bâtie par Vauban, puis sur la piste cyclable le long du canal Vauban où, entre Biesheim et Kunheim, selon les dires de Jean-Marie Biellmann, il existerait un arbre qui aurait le pouvoir de rajeunir d’un an celui qui le touche… Ce qui explique peut-être l’éternelle jeunesse des pilotes de « À Vélo sans Âge ».
« Quand je retrouve le triporteur, je me sens heureux. J’aime conduire ces hommes et ces femmes. Pendant la balade, on discute, on échange. Une réciprocité s’installe. Et vous n’imaginez pas à quel point c’est agréable de voir un passant qui nous salue, un commerçant qui nous interpelle. On recrée du lien entre nos doyens et la société. »
Et quelques archives….
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Il n’y a pas d’âge pour se faire triporter
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Il veut des triporteurs pour les anciens
Offrir des sorties vélo aux personnes âgées
Le vent dans les cheveux blancs
Des balades à vélo à tout âge !
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Capbreton (40) : une association …
A vélo sans âge : créer du lien en pédalant